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— Je vous demande, reprit le bourgeois, que vous m’expliquiez la malice de vos coups de bâton, qui ont l’air d’assommer le monde et de mettre tout en poussière.

— La malice n’est pas grande. Ayez un bâton dur et solide et tapez fort…

— Quoi ! s’écria le bourgeois, c’est donc pour tout de bon que vous avez frappé ?

— Vous en doutez ? En ce cas allez voir de près l’embellisseur.