Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome III, 1853.djvu/36

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

— Marchez, lui dit-il, je vous suis.

Le jeune seigneur aux beaux habits et au brillant cimeterre ne se fit pas répéter cet ordre : il tourna avec empressement derrière la baraque occupée par le vendeur d’eau de Beauté, et, montrant à Alain l’échelle qui servait à gagner les tréteaux :

— Veuillez prendre la peine de monter, lui dit-il.

— Plaît-il ? s’écria Alain, croyant avoir mal entendu.