Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome III, 1853.djvu/26

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

devant l’étalage d’un célèbre mécanicien qui confectionnait avec une adresse inimitable — c’était lui qui le disait — des yeux en verre et des jambes de bois.

Comme à cette époque, la guerre, et même une guerre acharnée, sévissait depuis plusieurs années, l’étalage du mécanicien était fort entouré.

Alain, en écoutant l’admirable discours du poseur des jambes, regretta presque un moment de n’être point mutilé ; toutefois son bon sens ne tarda pas