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— Je prends note de cet aveu, cher comte, car ce premier placement n’est pour ainsi dire qu’un essai… Il me reste encore tant de fonds disponibles…

D’Aubigné regarda Mathurin avec une admiration profonde.

— Vous êtes donc bien riche ? lui dit-il.

— Hélas ! je suis criblé de millions. Mais puisque vous avez été assez bon pour me proposer vos services, veuillez, je vous prie, me donner quelques renseignements dont j’ai besoin.