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gné, qui déplia vivement le papier que Legoff venait de lui remettre, y jeta les yeux, sourit d’un air joyeux et s’inclina devant Mathurin en disant :

— Cher baron, je ne connais personne au monde qui ait en affaires autant de tact que vous. Réellement, vous me voyez enchanté d’avoir fait votre connaissance. Veuillez, je vous en conjure, disposer de ma personne et de mon crédit. Si vous aviez même encore besoin de moi pour de nouveaux placements… je n’aurais pas la force de vous refuser…