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vue de ses désirs, le billet qu’il avait reçu d’elle, et il arriva à cette conclusion, que les lignes écrites par la jeune fille constituaient un véritable aveu !

Cette certitude lui fit un grand bien ; aussi lorsqu’il atteignit l’auberge du Chariot-d’Or, la disposition de son esprit était-elle loin de ressembler au sentiment de découragement profond qu’il avait ressenti en sortant de chez la femme de l’armateur.

La première personne qu’il aperçût en pénétrant dans la cour de l’auberge