Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome II, 1853.djvu/329

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

lorsqu’il vit le chevalier se jeter de nouveau sur son lit, et refuser par un signe de tête de partager le repas du matin.

Quel que peiné que fût le Bas-Breton de la tristesse de son maître, il n’en fit pas moins un brillant et consciencieux accueil au déjeûner fourni par l’hôtel : en moins de dix minutes, les plats, dépouillés de leur contenu, présentaient une surface d’une éclatante blancheur.

— Tout cela n’était pas trop mauvais, dit-il enfin en passant en guise de serviette le revers de sa main sur sa bou-