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qu’une chose dans la réponse de son maître ; que le jeune homme avait besoin de vingt écus, et que c’était l’impossibilité de se procurer cette somme qui le rendait si malheureux et l’avait fait blasphémer.

Alain — fait qui peut paraître incroyable et qui s’explique par le dévoûment et l’attachement sans borne qu’il portait au chevalier — Alain se mit aussitôt à se creuser l’esprit pour savoir de quelle façon il devait s’y prendre pour trouver ces vingt écus si ardemment désirés par son maître et si indispensables à son bonheur !