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mes sincères compliments, car les femmes qui fréquentent l’établissement de Renard, appartiennent toutes, soit à la haute noblesse, soit au théâtre. Une grisettè ou une bourgeoise n’oserait jamais se rendre là. Recevez donc, je le répète, mes sincères compliments : seulement puisque vous ne connaissez pas Renard, permettez-moi de vous donner en passant un avis, celui de bien garnir vos poches d’espèces ! Chez Renard, la moindre dépense atteint de suite un chiffre fabuleux ; tout s’y vend au poids de l’or. Je vous raconterais bien ; si je n’étais pressé, de singulières anecdotes sur cet établissement ; mais l’on m’at-