Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome II, 1853.djvu/306

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

ger ni avouer — ce qui l’aurait honteusement perdu — qu’il ne possédait pas un sol vaillant.

Il commanda donc au garçon un modeste repas.

Enhardi par la déférence que lui montrait le valet, et sentant instinctivement que son nouveau costume lui donnait une certaine autorité, il demanda s’il n’y avait pas quelque coureur qui pût se charger de porter une lettre à l’hôtel d’Harcourt !

Comme les princes et les ducs d’Har-