Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome II, 1853.djvu/299

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

entrer une demi-heure après son maître, qu’il ne reconnût pas d’abord, ne peut se comparer qu’à son ravissement.

— Ah ! mon doux Jésus et ma bonne Sainte-Anne-d’Auray ! s’écria-t-il en joignant les mains en signe d’admiration que vous êtes donc beau ! Il n’y a qu’un Breton capable d’avoir une si brave mine avec des habits français. Dieu de Dieu ! quel galant vous faites !

Ces compliments de son serviteur —