Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome II, 1853.djvu/279

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

à examiner si je suis accoutré à la dernière mode du jour !

De Morvan malgré sa prétendue indifférence à l’égard de ses vêtements, se sentai de fort mauvaise humeur et très embarrassé : tel homme supporte galamment un coup d’épée qui tressaille et bondit de colère et de douleur sous la piqûre prolongée d’une pointe d’aiguille.

Le chevalier se mit, en essayant de se cacher à lui-même cette petite faiblesse, à se promener d’un air indifférent devant une glace encadrée dans un des tru-