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volé le malheur qui en est résulté pour vous. Enfin, ce qui est fait est fait. Il n’y a plus à revenir là-dessus. Seulement, vous possédez toujours votre cheval, Bijou, qui a été sauvé par Ledû.

— Mon cheval a été sauvé, s’écria de Morvan avec joie.

— Avec sa selle, sa bride et tout ce qui s’en suit !

— Voilà une bonne nouvelle, Alain ! Tu vas porter de suite ces deux écus à Ledû et me ramener mon cheval.

— Mais mon maître, d’après ce que l’on m’a conté c’est pas pour vous, mais