Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome II, 1853.djvu/233

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

— Elle est bien simple. Nos voleurs de cette nuit ont laissé, en se sauvant, quatre chevaux et un carrossé dans l’écurie. Qui nous empêche de prendre pour nous deux de ces chevaux, ceux que montaient Jasmin et son compagnon, et de vendre à l’aubergiste les deux autres et le carrosse ? De cette façon, nous rattrapperons peut-être une partie de notre argent.

— En effet, répondit de Morvan après un moment de réflexion, je ne vois rien qui s’oppose à cela. Va me chercher l’aubergiste.