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— C’est ma foi vrai ! Que veux-tu, on ne peut rien contre la destinée !

— Oh ! on ne peut rien contre la destinée, ça ne m’est pas prouvé… Trois cierges brûlés à propos changent bien des choses… Quel malheur qu’il n’y ait pas ici une église ! Ma bonne Sainte-Anne-d’Auray et moi, nous nous entendons si bien… Ça ne ferait pas un pli. Avant une heure, , nous aurions de nouveau nos chevaux et notre or.

— Que faire à présent, Alain ? que devenir ? Comment continuer, sans un sol en poche, notre voyage ?