Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome II, 1853.djvu/177

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


VIII

Suite du précédent.


L’infortunée Ismérie s’arrêta : des sanglots étouffaient sa voix.

De Morvan indigné et ému à l’extrême serrait ses poings avec rage : enfin rompant le silence :