Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
péfaction que j’éprouvai étaient telles que le vicomte n’avait pas besoin de me recommander le silence : j’étais anéantie ! Le misérable profita de mon état pour me bâillonner d’abord, puis pour m’attacher ensuite les mains. Je perdis alors connaissance.