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telé avec les chevaux de labour que j’ai vus, interrompit de Morvan.
— Non, monsieur, se hâta de répondre l’infortunée Ismérie, en rougissant d’une façon presque imperceptible, le carrosse, lorsque je fus enlevée, était traîné par deux magnifiques coursiers de race…
— Qui sont morts sans doute à la peine…
— Oui, monsieur ! après un galop effréné de douze heures… Je termine mon récit : la crainte, l’horreur, la stu-