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voyageurs eurent à endurer ; nous avons hâte d’atteindre Paris.

Toutefois, nous devons forcément mentionner une aventure qui leur arriva dans le village de Nort, car cette aventure se rattache intimement à la marche et à la suite de notre récit.

Vers les deux heures, de Morvan et Alain firent une singulière rencontre, celle d’un carrosse hermétiquement fermé, attelé de deux chevaux de labour et escorté par deux grands diables de laquais, déguenillés comme des hidalgos