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ment que son esprit était tourné vers des pensées de violence.

Paraissant, enfin prendre un parti il ouvrit la porte du salon qui donnait sur un escalier de bois étroit et vermoulu, et, d’une voix dont les notes claires et sonores dénotaient de sa part une propension naturelle au commandement, il cria deux fois le nom d’Alain.

Presque aussitôt les marches disjointes de l’escalier tremblèrent sous la pression de deux lourds sabots, et Alain, le domestique de Louis de Morvan, se présenta.