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répète, la mère de ses livres, est également le confesseur des gens de lettres !

Que de monstrueux et imprudents plagiats, connus d’elle seule, passent, grâce à sa discrétion, pour des œuvres nouvelles !

Quant à moi, ma conscience mesquine et timorée me fait un devoir de déclarer hautement au lecteur que s’il éprouve, — comme je l’espère, — quelque intérêt à la lecture des Boucaniers, il ne doit m’en savoir aucun gré : mon seul mérite aura été de rajeunir, ou,