Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome I, 1853.djvu/261

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

— Mademoiselle, lui dit-il sans préambule, soignez bien M. le Chevalier pendant mon absence ; s’il désire se lever et qu’il vous demande son pourpoint, vous le trouverez là sur ce fauteuil ; la tisane est sur la table !… N’oubliez point, si mon maître vous interroge sur mon absence, de lui répondre, ce qui est la vérité vraie, que je ne l’ai pas quitté d’une heure pendant tout le temps de sa maladie, et que je suis en course pour lui.

Craignant un refus de Nativa, le Bas-Breton, après avoir dit ces mots, prit son élan et se précipita en dehors de la chambre.