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qui, transporté au château de Pennenrose, luttait depuis quinze jours contre la fièvre et le délire.
La blessure du gentilhomme était extrêmement grave : il lui avait fallu une force de volonté réellement extraordinaire pour continuer, — après l’avoir reçue, — à diriger la marche de l’embarcation.
Une fois son devoir accompli et Nativa en sûreté, il était tombé privé de sentiment, ainsi que nous l’avons déjà dit dans le précédent chapitre.