Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome I, 1853.djvu/162

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

— Si c’est comme cela que vous manœuvrez, dit Mathurin de sa voix la plus tranquille, il est inutile que vous songiez à porter secours à autrui ; je suis plutôt d’avis que nous retournions à terre.

— C’est pourtant vrai ! c’est aujourd’hui vendredi, répéta Alain accablé par cette horrible découverte.

Imbécile ! reprit Mathurin, t’arrive-t-il donc cinquante-deux malheurs par an ? Non ! Eh bien, alors, pourquoi calomnier les vendredis.