Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome I, 1853.djvu/114

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

— Il est inutile que vous vous dérangiez, le voici qui monte sans attendre qu’on l’invite.

En effet, le serviteur n’avait pas achevé de prononcer ces mots, quand le cavalier fit son apparition dans le salon.

C’était ce même inconnu que le lecteur a déjà vu interroger Alain sur le compte de Morvan, et lui donner deux écus.

Le cavalier, en entrant, jeta un rapide coup d’œil autour de lui, puis,