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— Ta prière est d’accord avec ma volonté, Jeanne !… J’ai justement une question à t’adresser… Avant tout, sois persuadée que mon intention n’est nullement de te disputer, dans l’avenir, l’amour du comte de Morvan ! J’ai, compris qu’engager une lutte avec toi, ce serait m’exposer à une défaite certaine ! Si LaUrent ne se trouvait pas entre ton cher comte, et toi, je n’hésiterais pas à délier M. de Morvan du serment qu’il m’a fait, à te conduire auprès de lui…

— Que tu es bonne, maintenant, Nativa ! interrompit Jeanne. Tu parlais