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fanent dans vos salons. La rosée, elle aussi, a une pénétrante odeur ! Nos joyeux éclats de voix répondront au ramage des oiseaux ; nous oublierons le monde entier : le passé n’existera plus pour nous !… Non, cela ne serait pas possible !… Eh bien ! nous parlerons de lui, à la nuit tombante, lorsque le dernier rayon de soleil s’éteindra sur la cime de l’arbre le plus élevé, à l’heure où le silence qui règne dans les forêts dispose l’âme à la réflexion et à la tristesse. Tiens, Nativa, c’est encore là un mystère dont tu ne soupçonnes pas l’existence.
Tu ignores la douceur de ces larmes