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— Nous nous passerons aisément de provisions, Jeanne.

— Comment ferons-nous donc ?

Un sinistre et fugitif sourire passa sur le visage de Nativa.

— Les femmes qui s’étaient réfugiées dans le couvent avaient apporté avec elles plus de vivres qu’elles n’en ont consommé, répondit-elle. Nous aurons à profusion du maïs et des fruits secs. Au reste, je me charge de tout ; fie-toi à moi.