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tes puissantes facultés, ton amour pour la gloire, les précieuses qualités de ton esprit aient été annulés par un orgueil malentendu !… Il y avait en toi l’étoffe d’un grand homme…
— Et le grand homme n’aura été qu’un misérable aventurier ! Singulière analogie que présentent nos deux destinées ! Terminons, Montbars. Veux-tu m’accorder une dernière grâce… avoir pitié de ma faiblesse, me permettre, comme je te le disais tout à l’heure, de m’ensevelir dans mon triomphe ?
— Je n’ai rien à te refuser, mon frère ! que demandes-tu ?
— Que tu me permettes de mettre le