Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome XII, 1853.djvu/284

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

— Montbars, dit-il, le moment actuel me semble assez mal choisi pour une dissertation philosophique : laissons de côté récriminations et banalités, pour nous occuper seulement de ce qui nous concerne. Me promets-tu, avant d’accomplir ton projet, avant de mettre à exécution ta menace, d’attendre que je me sois expliqué ?…

— Je n’ai pas encore prié, répondit Montbars : à moins donc que tu ne tentes de te servir de tes armes contre moi, tu n’as rien à craindre ! Parle !