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n’éprouvaient plus aucune pitié pour leur ancien et noble chef.

— Si je me tais, vous exécuterez votre menace ?…

— Oui… oui… oui !… nous l’exécuterons !…

Montbars parut réfléchir : puis, d’une voix calme et assurée :

— J’ai eu tort de parler, dit-il ; enfin, puisque la faute est commise, je dois en supporter les conséquences. Frères-la-