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du malheur de sa rivale, éprouvait un espoir confus que son esprit n’osait clairement formuler, mais qui, agitait son cœur.

Aussi, devant l’accusation de la pauvre enfant baissa-t-elle la tête.

— Nativa, reprit Jeanne ; après un court silence, une mauvaise action, — c’est mon chevalier qui me l’a appris, dans nos causeries, — porte toujours des fruits amers !… Sois bonne et généreuse !… Ne reconnais pas par la plus hideuse ingratitude mon dévoûment !…