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précieuse : elle permettait a de Morvan de ne pas s’égarer dans ses recherches et l’empêchait de faire fausse route. Il courut à la chapelle.

Derrière l’autel, il remarqua un tableau peint sur bois. Ce tableau devait être mobile : oui, mais quel était le secret de mécanisme qui le mettait en mouvement ? Une journée ne lui suffirait peut-être pas pour le trouver ! Et Jeanne se mourait !… De Morvan monta sur un banc et se mit à lacérer la peinture à coups de poignards : partout la lame rencontra une épaisse et dure couche de