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Ce fut seulement après avoir franchi le seuil du couvent, qu’il songea à se rappeler les paroles de la jeune fille.

Jeanne, l’esprit doublement troublé par l’apparition de de Morvan et par son état de faiblesse et de souffrance avait été fort peu explicite.

« Dans la chapelle… il y a un tableau… derrière l’autel….. Adieu, mon chevalier… je t’ai toujours aimé… adieu ! » avait-elle dit.

Toutefois, cette vague indication était