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— Je suis dans un des cachots du couvent, mon chevalier… je me meurs… Dans la chapelle, il y a un tableau… derrière l’autel… Adieu, mon chevalier ! je t’ai toujours aimé… adieu !…

La voix de la pauvre enfant avait été en s’affaiblissant ; ce fut à peine si de Morvan parvint à saisir les dernières paroles quelle prononça.

Alors avec une résolution, une audace et une agilité qui ne peuvent s’exprimer, de Morvan redescendit au fond du précipice, puis, sans perdre de temps