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tion. Puisque tu m’as permis de t’interroger, j’ajoute : Quand comptes-tu punir le coupable ?

— De suite, répondit froidement Montbars en se dirigeant vers la porte de sortie.

— Réfléchis encore, Montbars, s’écria de Morvan en arrêtant le flibustier, une résolution aussi grave mérite bien d’être mûrement pesée.

— Ai-je donc l’air d’un homme dominé par la colère, Louis ? Jamais je