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te cacherai pas que je suis inquiet.

— La haine que tu éprouves pour Laurent t’égare, Montbars.

— Moi de la haine pour Laurent, Louis ! Mon Dieu, combien tu te trompes ! Je connais trop les hommes pour les aimer ou les haïr, je les étudie, pour me servir de leurs bonnes ou de leurs mauvaises passions : voilà tout.

— Mais en supposant que tes prévisions soient justes, quelle est d’après