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— Alors, dépêche-toi ! si je n’attendais pas l’amiral, je serais déjà mort… Je me cramponne du mieux que je puis à la vie, mais il n’y a pas de temps à perdre…

Le Boucanier parlait encore que déjà Montbars était parti : un quart d’heure après il revenait en compagnie du baron de Pointis.

L’amiral, revêtu de son grand uniforme, se pencha sur l’agonisant, et lui prenant la main :