Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome XI, 1853.djvu/283

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Le jeune homme n’avait pas besoin d’être excité pour voler au secours de l’infortunée victime de la brutalité des Frères-la-Côte.

Il se dégagea doucement de l’étreinte de Jeanne, et, prenant son élan, en deux bonds il tomba au milieu des flibustiers.

— Misérables, leur dit-il avec un heureux à propos, ne comprenez-vous pas qu’en insultant ainsi les femmes avant d’avoir l’or des Espagnols, vous finirez par exaspérer ces derniers qui