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de me communiquer un ordre écrit par Sa Majesté qui lui confère un pouvoir illimité, sans bornes, supérieur au mien ! Vous aurez donc à vous soumettre aux ordres que M. de Montbars jugera à propos de vous donner !…

Cette déclaration n’étonna pas encore autant les officiers que la pâleur de l’amiral ; ils s’expliquèrent bientôt son émotion par le désappointement et le déplaisir que devait lui causer sa disgrâce.

— Croyez-vous toujours qu’il soit né-