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n’est-ce point une menace que je vous adresse, mais bien un simple fait que je constate. Je vous jure que si vous vous avisiez de m’appeler par mon nom, je n’hésiterais pas à vous répondre par un coup de pistolet dans la tête… Causons d’autre chose ; revenons au divertissement que prennent les Frères-la-Côte ici présents… Qu’en pensez-vous ?

— Je pense, Laurent, que si vous ne me secondez pas dans mes efforts pour faire cesser cette horrible et sacrilége orgie, je n’aurai plus pour vous ni amitié ni