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Ducasse, toujours froid et impassible, appuya le doigt sur la détente de son pistolet, le coup partit, le soldAt tomba foudroyé : la balle lui avait fracassé le crâne ;

— Quant à vous, reprit le gouverneur, en s’adressant aux compagnons terrifiés de la victime, bien vous en a pris de ne pas élever la voix en ma présence… L’amiral va décider de votre sort. Suivez-moi !…

Les grenadiers, subjugués par le ton d’autorité du gouverneur, et par l’acte de