Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome X, 1853.djvu/260

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Cette fois, cent cadavres jonchèrent la terre !

— Serrez les rangs et en avant ! commanda de nouveau M. de la Chevau.

Vains efforts ! les grenadiers, en proie à une torpeur trop justifiée, tournèrent les talons et s’éloignèrent au plus vite.

— L’amiral de Pointis, dominé par une émotion qu’il s’efforçait en vain de cacher, se mordait les lèvres jusqu’au sang et paraissait indécis sur la con-