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Seulement, chaque fois qu’un artilleur, mortellement atteint, tombait à ses pieds, le comte fronçait les sourcils, et sous prétexte de donner un ordre, se découvrait de façon à s’exposer en plein aux coups des Espagnols.

Comprenant que cette situation en se prolongeant était de nature à compromettre le but de l’expédition, l’amiral se décida enfin à agir.

Ordre fut donné aux bataillons des grenadiers commandés par M. de la Chevau, de se préparer à monter à l’assaut.