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rendre ! Il faut leur envoyer ce moine en parlementaire.

— Cela ne nous engage à rien, ajouta Ducasse, envoyons donc le moine. Je vous avertis seulement, amiral, que les Espagnols sont extrêmement orgueilleux et qu’ils ne mettront bas les armes qu’après s’être bien battus, ou avoir trouvé un prétexte qui leur permette de capituler sans trop de déshonneur.

Le moine, précédé d’un tambour et d’un trompette, se mit aussitôt en route :