Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome X, 1853.djvu/183

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Il s’empressa de sauter sur le banc de quart.

— Un dernier mot, matelot, dit-il : ne penses-tu pas qu’il serait prudent de faire entrer l’équipage dans la complicité de notre extravagance : quelques paroles te suffiront pour cela !

— Le conseil n’est pas mauvais : merci.

Laurent rassembla aussitôt l’équipage sur l’arrière.

— Frères-la-Côte, leur dit-il, nous