Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome X, 1853.djvu/17

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Si quelqu’un, même un indifférent, eût pu voir en ce moment le chevalier, il aurait éprouvé pour lui une pitié sincère tant son visage, profondément altéré, portait l’empreinte d’une douleur désespérée.

— Eh bien, reprit Jeanne après un court silence et en cambrant sa taille souple comme un jonc, pour tâcher d’apercevoir le visage de de Morvan ; as-tu donc déjà succombé au sommeil, mon chevalier ?

— Remettons-nous en chasse, Jeanne !