Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome X, 1853.djvu/122

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

mandeur que portait le flibustier, pâlit.

Il craignait que cette profanation, rapportée à la cour, n’y causât un scandale irréparable et ne compromît l’avenir de la colonie de Saint-Domingue.

L’embarras du gouverneur redoubla encore lorsque le baron de Pointis lui demanda, en désignant Laurent, quel était cet homme.

— C’est, amiral, lui répondit-il, après Montbars, le plus brillant et le plus populaire de nos flibustiers : on le nomme