Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome IX, 1853.djvu/67

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Habitue-toi plutôt à l’idée d’une séparation qu’à celle d’une guérison !

— Oh ! quant à être séparée de toi, je ne crains pas cela, dit Fleur-de-Bois. L’Espagnole se connaît aussi en poisons, et elle m’en a donné un qui est infaillible.