Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome IX, 1853.djvu/240

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

sant plusieurs jeunes chiens sauvages que j’adoptai également.

Ces nouvelles éducations me réussirent aussi à merveille et me causèrent les plus douces jouissances. Je n’étais plus seul. J’avais des amis.

À partir de ce moment, je vous avouerai que non seulement je commençai à m’habituer à ma nouvelle vie, mais que je finis même par être fort heureux. Mon corps, endurci par l’exercice, avait acquis une force et une souplesse extrêmes, les chasses les plus acharnées n’é-